a rotting carcass on a trail
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プロンプト
道端の小径を曲がると、 醜悪な死骸が 石ころだらけの床に 腹をあげて、まるで淫蕩な女のように、 熱く毒を流しながら、 無遠慮で皮肉な仕草で その臭いたちこめた腹を開いていた。 太陽はその腐肉に輝き、 まるでそれを丁度良く焼こうとして、 偉大な自然に、それが結合したものを 百倍に返そうとしているかのようだった。 そして空はその荘厳な死体を見下ろし、 まるで花が咲き誇るのを見るようだった。 その悪臭はあまりにも強く、草の上で 蠅がその腐った腹の上をめぐり、 黒い大軍団のような 蛆が、濃い液体のように流れ出し、 その生きた布切れの上を這い回っていた。 それらは波のように上がったり下がったり、 ぴちゃぴちゃと跳ねながら進み、 まるでその体がある息遣いで膨れ上がり、 増殖しながら生きているかのようだった。
プロンプト
Au détour d’un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Le ventre en l’air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d’une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d’exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu’ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s’épanouir. La puanteur était si forte, que sur l’herbe Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D’où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s’élançait en pétillant On eût dit que le corps, enflé d’un souffle vague, Vivait en se multipliant.